Secteur Nord-est
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Le secteur
Nord-est
Le Nord-est toulousain s’organise autour de plusieurs pôles économiques de taille moyenne, qui le font vivre sur un rythme soutenu et régulier. Le Marché d’intérêt national, au Nord de l’agglomération, concentre 150 concessionnaires, tous secteurs d'activité confondus, et représente un large bassin d’emploi. De même, la zone d’activités de Balma-Gramont, desservie par la ligne A du métro toulousain, accueille une multitude d’entreprises, qui s’étalent jusqu’à Montredon le long de la route de Lavaur. L’Union représente également une zone d’attractivité forte dans ce secteur, en matière d’emploi comme de logement. Au total, le Scot prévoit + 7 000 à + 40 000 nouveaux emplois sur la zone d’ici 2030. Ces différentes caractéristiques en font un territoire Pinel privilégié : son organisation harmonieuse et sa diversité d’activités ne permettent pas de craindre la vacance locative, et la grande qualité de son offre en logements neufs, appuyée par un ambitieux schéma de développement urbain, asseyent son attractivité auprès des investisseurs.
Le nord-est
Toulousain à la loupe
| Quartier | Population active | Part de locataires | Prix moyen au m² | Logements-type | Zone Pinel | Éloignement par rapport à la ville-centre | ||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
 |
Gagnac | 1 165 | 82.5% | 39% | T5 ou plus T4 | B1 | 13.9km | |
L'analyse
de l'expert
Portrait du territoire
Le secteur Nord-est se caractérise par une forte proportion de locataires, et par un bassin économique très dynamique. 47.5% des habitants à Aucamville louent leur logement, 46.1% à Launaguet, 39% à Gagnac et 37.3% à Castelginest. Plusieurs villes affichent de bons scores en nombre d’entreprises créées en 2017 : 111 à Pechbonnieu, 104 à Aucamville, 87 à Castelginest, 113 à Saint-Jean... Mais ce n’est pas pour autant la règle dans la zone, puisque des plus petites villes comme Saint-Geniès, Gratentour ou Pechbonnieu n’en comptent respectivement que 22, 38 et 45.
La proportion de cadres et professions intellectuelles supérieures en 2015 oscille entre 10.9% de la population active à Aucamville, 13.9% à L’Union, 14.8% à Saint-Jean et 16.1% à Saint-Geniès. Au niveau de la médiane des revenus disponibles par ménage en 2015, elle s’élève à 25.685€ annuels à L’Union, à 22.997€ à Gagnac, à 24.541€ à Gratentour et à 26.264€ à Saint-Geniès. Des scores qui témoignent d’une vitalité économique bien répartie sur le secteur, et qui ont de quoi assurer les investisseurs de la solvabilité des ménages de cette aire de l’agglomération.
Investir dans le secteur
Les acquéreurs intéressés par le Nord-est de la métropole n’auront aucune difficulté à trouver la résidence idéale pour mener à bien leur projet immobilier, le secteur proposant une pléiade d’offres différentes. Pour une typologie 3 pièces, on trouvera ainsi des biens à 204.000€ à Saint-Jean, à 192.000€ à L’Union, à 208.800€ à Aucamville, à 183.000€ à Launaguet ou à 205.500€ à Castelginest.
En choisissant d’acheter leur logement neuf en vente sur plan, les futurs propriétaires pourront bénéficier du dispositif d’incitation à l’investissement locatif Pinel. Cela signifie toutefois qu’ils devront respecter certains plafonds de loyer. Par exemple, pour un 70m² avec 20m² de terrasse à Aucamville, ils ne devront pas demander à leurs locataires plus de 761.25€ de loyer mensuel. Et s’ils choisissent de le mettre en location pour une durée de 9 ans, ils obtiendront une réduction de leur impôt sur le revenu correspondant à 18 % du montant de leur investissement frais de notaire compris, soit 4.176€ par an pendant les 9 ans.
