Secteur Sud-est

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Le secteur
Sud-est

Le Sud-est de la Métropole est caractérisé par une concentration de pôles économiques. Labège – Innopole, avec les sites d’Entiore et de La Masquère, est le premier parc d’activités de l’agglomération. La zone comprend une forte implantation tertiaire, un réseau dense de PME/PMI performantes, de start-ups innovantes, et de services qualitatifs aux usagers. Le centre commercial de Saint-Orens renforce encore cette dynamique. À Montaudran, le quartier Toulouse Aerospace impulse une dynamique nouvelle à tout le secteur : à la fois lieu de vie, de travail, de culture et de loisirs, mais aussi, avec Innovation Campus, pôle d’activités et de recherche à la pointe de l’innovation dédié aux filières Aéronautique, Espace et Systèmes embarqués, ce nouveau quartier est directement connecté à Toulouse, et appelé à révolutionner l’activité économique ainsi que les formes urbaines sur cette portion du périurbain toulousain. Ce secteur Sud-est devrait accueillir + 12 000 à + 14 000 nouveaux emplois entre 2008 et 2030, selon les prévisions du Scot, mais il présente déjà tous les atouts pour un investissement Pinel de qualité. L’offre en immobilier neuf y est vaste et diversifiée, et propre à satisfaire la majeure partie des demandes de location, en augmentation continue.

Le sud-est
Toulousain à la loupe

L'analyse
de l'expert

Portrait du territoire

Le Sud-est de la métropole est marqué par de fortes diversités sociodémographiques. Alors qu’à Rouffiac la médiane de revenu disponible par ménage s’élève à 29.443€ annuels en 2015, elle plafonne à 23.226€ à Ramonville, contre 27.424€ à Auzeville, 26.584€ à Balma et 25.478€ à Escalquens. L’éventail s’ouvre encore un peu plus quand on regarde du côté de la part de locataires : quand seulement 12.9% des habitants louent leur logement à Sainte-Foy-d’Aigrefeuille, ils sont 62.3% à Labège, 53.1% à Auzeville, 50% à Ramonville et 28.4% à Saint-Orens. Labège et Auzeville se distinguent également par leur forte proportion de studios habités en résidence principale, une exception dans la périphérie toulousaine.

En nombre d’entreprises créées en 2017, le contraste s’affiche également. Pour 25 nouveaux établissements ouverts à Pompertuzat, on en compte 40 à Auzeville, 52 à Quint-Fonsegrives, 110 à Saint-Orens, 112 à Castanet-Tolosan, 135 à Ramonville et 217 à Balma. Une certaine homogénéité se dessine en revanche du côté de la proportion de cadres et professions intellectuelles supérieures dans la population active. Elle tourne autour de de 16.4% à Quint-Fonsegrives, 15.8% à Auzeville, 17.7% à Escalquens, 18% à Balma, 18.5% à Rouffiac, et 19.6% à Castanet. Les investisseurs qui souhaitent devenir propriétaires dans le secteur n’auront donc aucun mal à trouver des locataires solvables et stables pour habiter leur bien, et pourront compter sur une plus-value à la revente qui ne fait pas de doute au vu de la dynamique du parc locatif de la zone.

Investir dans le secteur

Les prix des programmes en vente sur le secteur sont assez homogènes. À titre d’exemple, les annonces de T3 tournent ici entre 200.000 et 250.000€. On pourra devenir propriétaire d’un logement en VEFA pour 228.000€ en moyenne à Castanet, pour 211.000€ à Balma, pour 229.600€ à Saint-Orens et pour 236.600€ à Auzeville.

Pour qui veut se constituer un patrimoine dans le Sud-est toulousain, il n’y aura donc plus qu’à choisir entre les différents projets en commercialisation. Et si l’acquisition se fait via le dispositif de défiscalisation Pinel, il s’agira pour les acheteurs de déterminer la durée de leur choix pour la mise en location. Ainsi, pour un 65m² avec 17m² de terrasse à Castanet (loué à un loyer maximum de 715€ par mois), avec une mise en location d’une durée de 12 ans, ils économiseront 18% du montant de leur investissement frais de notaire compris, soit 3.990€ par an pendant les 12 ans.