Immobilier neuf
Colomiers
ACCUEIL > colomiers
Les 13 meilleurs programmes neufs à ColomiersPOURQUOI INVESTIR à Colomiers
Située à une vingtaine de minutes en voiture de Toulouse, Colomiers est la deuxième commune la plus peuplée de Haute-Garonne juste après Toulouse. Elle comptait 40 159 habitants en 2021 (Insee), et l’évolution de la population annuelle varie entre +0,6% et +2% depuis les années 1990. S'étendant sur 20.83 km² à l’ouest de Toulouse, Colomiers est limitrophe de celle-ci ainsi que des communes de Blagnac, Cornebarrieu, Pibrac, Plaisance-du-Touch et Tournefeuille.
Elle est l’une des communes les plus investies par l’immobilier neuf à Toulouse et est également éligible au PTZ et autres dispositifs qui requièrent une situation géographique en zone tendue, puisqu’elle est située en zone A. Commune jeune et dynamique, elle accueille principalement des jeunes actifs, cadres, couples et famille. L’âge moyen de la population est de 38 ans.
Bien desservie par les transports en commun, Colomiers fait partie du bassin d’emploi aéronautique et profite donc de l’attractivité de Toulouse et des secteurs d’activités Airbus, notamment l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Dotée de nombreux services publics et de commerces, elle offre toutes les commodités de la vie urbaine tout en garantissant une ambiance calme.
En plus des lignes de bus du réseau Tisséo qui la desserve, Colomiers accueillera une station de métro de la ligne 3 du métro, courant 2028. L’arrivée de la 3ème ligne devrait ainsi renforcer son attractivité et favoriser le développement de l’immobilier neuf à Colomiers.
Pourquoi investir dans l’immobilier neuf à Colomiers ?
La périphérie toulousaine présente de belles opportunités d’achat dans l’immobilier neuf. Deuxième ville de Haute-Garonne, Colomiers est un territoire tout choisi, aussi pour un achat en résidence principale que pour un investissement locatif en LMNP etc.
Elle présente l’une des croissances démographiques les plus fortes du département et gagne près de 850 habitants chaque année. Les logements vacants y sont d’ailleurs très rares et ne représentent que 1,2%, la demande locative est ainsi très forte et permet d’éviter aux propriétaires-bailleurs les risques de vacance locative.
Colomiers abrite actuellement 50,2 % de locataires contre 48,9 % de propriétaires. Côté logements, les appartements sont les plus représentés (soit 57,3 % contre 42,1 % de maisons). 56,6 % des logements possèdent plus de 4 pièces à Colomiers, mais les plus petites surfaces sont en fort développement avec l’arrivée de programmes immobiliers neufs dans l’ensemble des quartiers de la commune. On notera par exemple l’évolution de la part des 2-pièces qui passent de 11,4 % en 2010 à quasiment 15 % en 2021 et les 3-pièces qui observent une évolution de 22,9 % à 25,9 %.
Environnement
Colomiers s’organise en plusieurs sous-quartiers sur l’ensemble de son territoire. Au nord-ouest, on trouve les secteurs de Naspe Séléry, bien urbanisé et résidentiel. Le quartier est doté de nombreux équipements (complexes sportifs, écoles, collèges...). Au nord-est, le secteur du Parc aéronautique est surtout investi par les entreprises. Beaucoup moins résidentiel, le secteur a l’atout d’être à proximité de l’aéroport de Blagnac.
À l’ouest, le secteur Perget Monturon abrite des logements ainsi qu’une zone commerciale importante. Plusieurs écoles s’y sont aussi implantées, ayant attiré des familles à s’y installer. Plusieurs programmes neufs y ont d’ailleurs été édifiés. Plus au centre, Colomiers rassemble la grande majorité de ses commerces de proximité.
Plusieurs espaces verts viennent pigmenter le centre-ville pour offrir des espaces de détente aux habitants. Colomiers a su dynamiser son centre-ville avec plusieurs bars-restaurants et enseignes. À l’est, du côté de Bascule Oratoire, le secteur est plus résidentiel et rassemble aussi bien des maisons avec jardins que des immeubles collectifs.
Transports
Colomiers est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau Tisséo. Accessible par la route nationale 124, elle relie également Toulouse à Auch grâce au périphérique. Voici l’ensemble des lignes par lesquelles est desservie Colomiers :
- La ligne L2 ((arrêts Gare SNCF Colomiers – Colomiers Lycée International) ;
- La ligne 21 (arrêts Estérel - Colomiers Airbus) ;
- La ligne 32 (arrêts Colomiers Gare SNCF - Lycée international Colomiers) ;
- La ligne 55 (arrêt Colomiers Gare SNC) ;
- La ligne 63 (arrêt Colomiers Ramassiers Gare SNCF) ;
- La ligne 150 (arrêt Colomiers Gare SNCF) ;
- Les lignes 305 et 343 du réseau de bus Arc-en-Ciel ;
- La ligne TER Colomiers – Saint-Cyprien Arènes ;
Acheter dans l’immobilier neuf à Colomiers
Étant la 2ème ville de la métropole Toulousaine en termes de population, la demande de logements neufs est bien évidemment en constante augmentation à Colomiers. Chaque année, les promoteurs commercialisent de nouveaux programmes immobiliers neufs afin de suivre cette demande grandissante.
Il y a actuellement 6 programmes neufs en cours de commercialisation à Colomiers, dont 5 ont déjà été livrés et le dernier est attendu pour le 2e trimestre 2025. Ces programmes proposent des appartements et/ou des maisons neuves, aux typologies qui vont du studio au 5-pièces, et des prix qui démarrent à 125 000 €.
Le prix médian d’un logement neuf à Colomiers se situe actuellement autour de 3 672 €/m²,soit bien moins élevé que Toulouse qui culmine à près de 4 900 €/m², ou même sa voisine Blagnac à 4007 €/m².
Le programme neuf Canopée, situé dans un quartier calme et verdoyant, est proche du centre de Colomiers (à 6 minutes en voiture). Ce projet immobilier en R+1 est constitué de 12 appartements neufs du T2 au T4, à partir de 208 000 €. Les logements répondent à la norme RT2012 et proposent des équipements modernes et espaces extérieurs privatifs (jardins, balcons, ou loggias).
Entourée de végétation, la résidence assure confort et sécurité avec un parking, un local à vélos, un portail sécurisé et un accès par visiophone. Conçue comme un “écrin végétal”, elle invite les résidents à profiter de la nature en pleine zone urbaine, alliant tranquillité et qualité de vie. La résidence ayant été livrée au 2e trimestre 2024, elle est immédiatement visitable et habitable.
Acheter avec le PTZ à Colomiers
Colomiers est depuis quelques mois passé en zone tendue A. La commune est donc éligible au Prêt à Taux Zéro selon les montants, tranches et quotités prévues par cette zone.
Le PTZ est un dispositif destiné à faciliter l’accession à la propriété pour les primo-accédants à faibles revenus. Ce prêt immobilier sans intérêts est partiellement financé par l’État et permet de couvrir une portion du coût d'achat d’un logement, neuf ou ancien sous conditions de travaux.
Les récentes réformes de 2024 augmentent les plafonds de revenus, introduisent une quatrième tranche d’éligibilité, et majorent le financement du PTZ pour certaines catégories, comme les locataires de logements sociaux.
Le PTZ est réservé aux ménages primo-accédants, résidant en zones dites tendues (zones Abis, A, et B1 pour le neuf) ou en zones B2 et C pour l'ancien avec travaux représentant au moins 25% du coût total. La part de financement peut atteindre jusqu’à 50% du projet immobilier pour les foyers les plus modestes.
Le montant du PTZ dépend de la localisation, du type de bien, et de la composition du foyer. Le remboursement est réparti en une période de différé (jusqu’à 15 ans) et une période de remboursement allant de 10 à 15 ans. Pour bénéficier de ce prêt, il faut passer par une banque conventionnée avec l'État, qui évalue la solvabilité de l’emprunteur.
Bientôt une simulation PTZ ici
Quelques quartiers
Perget
Le secteur Perget se place au nord de Colomiers. Il comprend une importante zone commerciale ainsi que des petits micro-quartiers résidentiels. Peuplé de 5 755 habitants, il rassemble 1 344 maisons et 1 217 appartements. La majorité des habitants de Perget sont propriétaires (1 341) contre 1 106 locataires.
Naspe Selery
Secteur non loin du centre-ville de Colomiers, le quartier Naspe Selery est très résidentiel et compte 5 852 habitants. Pavillonnaire, on y trouve une majorité de maisons, celles-ci sont au nombre de 1 599. Les appartements représentent quant à 834 des logements du quartier. Les propriétaires sont les plus représentés (soit 1 361) contre 1 034 locataires.
Centre-ville
Le centre de Colomiers compte 2 953 habitants, dont une majorité de locataires. Ces derniers sont au nombre de 1 201. Les propriétaires sont quant à eux beaucoup moins représentés et sont au nombre de 315. Le centre-ville compte 100 maisons et 1 497 appartements. Il est donc un secteur tout choisi pour un investissement locatif dans l’immobilier neuf à Colomiers.
Parc Aéronautique
Le secteur du Parc Aéronautique est le moins peuplé de Colomiers et compte 410 habitants dont la majorité sont des locataires (181). Les logements les plus représentés du parc sont les appartements (160), contre 69 maisons individuelles.
Falcou Fenassiers
Placé entre le centre-ville de Colomiers et Perget, le secteur Falcou Fenassiers est essentiellement résidentiel et rassemble 4 242 habitants, dont la majorité sont des locataires (978), contre 909 propriétaires. Les appartements sont au nombre de 1 133 et les maisons au nombre de 808.
Ramassiers
Le secteur de Ramassiers abrite un grand nombre d’entreprises liées au secteur aéronautique. Sur le plan du logement, on y trouve de nombreuses maisons, soit 1 037 sur l’ensemble du parc immobilier du quartier, contre 771 appartements. Sur les 4 279 habitants, 1 018 sont propriétaires et 727 sont locataires.
Les points forts
- Cadre de vie agréable et résidentiel ;
- Desservie par les transports en commun ;
- Programmes immobiliers neufs nombreux ;
- Offre éducative importante ;
- Espaces verts ;
- Proximité de la ville de Toulouse ;
- Marché locatif important.
Un peu d'histoire...
Durant l’Antiquité, Colomiers est située sur l’axe romain conduisant à Auch. Un atout qui permet à des populations sédentaires de s’y installer. En 1080, Colomiers se construit autour d’une chapelle créée par l’Abbé de Saint-Sernin, qui sera nommée Église Sainte-Radegonde.
Au XIIIe siècle, le village poursuit son développement et devient une seigneurie dont le commandement est divisé entre plusieurs coseigneurs. Les Capitouls de Toulouse décident d’y faire construire leur résidence secondaire. Des châteaux et des métairies (un ensemble composé de plusieurs bâtiments voués à l’exploitation agricole) se développent. L’activité économique columérine est essentiellement viticole et agricole. Sous le règne de Louis XIV, Colomiers se situe sur la route royale permettant de relier Toulouse à Léguevin. Un atout permettant au village de développer son économie.
Les métairies présentes à Colomiers deviennent des châteaux de plaisance pour les familles des Capitouls. La plupart de ces grandes demeures prennent le nom de leurs propriétaires : Gramont, Garroussal ou encore Armurier.
La Révolution française a d’importantes conséquences sur la ville de Colomiers. Elle détruit la coseigneurie, divise la paroisse et oppose les habitants pendant de nombreuses années. Le village est particulièrement marqué par l’insurrection royaliste de 1799, où des émeutes permettent aux opposants de prendre le contrôle de Colomiers avant l’attaque de Toulouse.
Les bourgeois de Toulouse, propriétaires de châteaux à Colomiers, souhaitent rentabiliser leurs domaines au Conseil municipal. Pour cela, ils demandent la privatisation des communaux et la limitation de leurs impôts. Ce n’est pas au goût des paysans et des artisans républicains. Cela provoque des tensions, et notamment des bagarres politiques en 1848.
À la fin du XIXe siècle, sous le Seconde Empire, Colomiers se développe grâce à l’arrivée du train en 1848, à l’installation d’entreprises spécialisées dans la fabrique de malles, de tuiles, et au développement de la scolarisation.
En 1900, Colomiers parvient à dépasser le cap des 1.700 habitants et est marquée par l’arrivée du tramway et de son électrification. Ce transport en commun permet aux habitants de se rendre à Esquirol, à Toulouse. Le 15 septembre 1940, Léon Blum, traqué par la milice, et Vincent Auriol, parlementaire français refusant les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, sont arrêtés au Château de l’Armurier. Les deux hommes politiques s’étaient réfugiés à Colomiers à l’invitation d’Eugène Montel, maire du village.
Eugène Montel et Alex Raymond lancent le projet urbain ambitieux d’une ville nouvelle en 1958. Ils souhaitent faire passer le village de 3.000 habitants à une ville de plus de 30.000. Les zones industrielles En Jacca, et celle liée à l’aéronautique Dassault et Aérospatiale, sortent de terre. Dès le début des années 1960, Colomiers organise son développement. Mené par l’architecte Paul Viguier, il prévoit de réserver 30% du territoire columérin à l’activité économique.
Face à l’augmentation continuelle du nombre d’habitants au sein de la ville, entre 1980 et 1990, une nouvelle phase importante d’urbanisation a lieu. Colomiers s’équipe en nouveaux équipements : Lycée international Victor Hugo, ligne C de TER, zones pavillonnaires et commerciales. Ceci effaçant les derniers espaces agricoles et intégrant Colomiers à la zone urbaine de Toulouse. Avant 2003, tous les ronds-points de Colomiers avaient la priorité à droite, ceci limitant l’utilisation des feux tricolores fixes. Au sein de la ville, on ne compte que deux feux tricolores. Dès son arrivée à la mairie, Bernard Sicard harmonise les ronds-points de la ville et instaure la gratuité des transports en commun et des parkings.
Dès 2025, la ville Colomiers sera connectée au centre-ville de Toulouse, via la station de métro Jean-Jaurès, et au pôle d’affaire Labège-Innopole, grâce à la Toulouse Aerospace Express, la troisième ligne de métro. D’une longueur de près de 30 kilomètres, la TAE disposera d’un terminus au niveau de la gare de Colomiers.