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POURQUOI INVESTIR
à Colomiers
Colomiers est située à l’ouest de l’agglomération toulousaine. Il s’agit de la deuxième ville de la Haute-Garonne en nombre d’habitants (38.000) et de la quatorzième de la région Occitanie. Colomiers vient du latin “colombarium” qui veut dire pigeonnier. À l’époque, le pigeonnier est un signe extérieur de richesse car il permettait la récolte de la colombine, la fiente de pigeon, le seul engrais permettant d’enrichir les terres.
Antiquité : Colomiers située sur l’axe romain vers Auch
Durant l’Antiquité, Colomiers est située sur l’axe romain conduisant à Auch. Un atout qui permet à des populations sédentaires de s’y installer.
1080 : Colomiers se construit autour de l’église Sainte-Radegonde
En 1080, Colomiers se construit autour d’une chapelle créée par l’Abbé de Saint-Sernin, qui sera nommée Église Sainte-Radegonde.
XIIIe siècle : Colomiers prisée par les Capitouls
Au XIIIe siècle, le village poursuit son développement et devient une seigneurie dont le commandement est divisé entre plusieurs coseigneurs. Les Capitouls de Toulouse décident d’y faire construire leur résidence secondaire. Des châteaux et des métairies (un ensemble composé de plusieurs bâtiments voués à l’exploitation agricole) se développent. L’activité économique columérine est essentiellement viticole et agricole.
Colomiers sous le règne de Louis XIV
Sous le règne de Louis XIV, Colomiers se situe sur la route royale permettant de relier Toulouse à Léguevin. Un atout permettant au village de développer son économie.
XVIIIe siècle : l’installation des familles capitoulaires
Les métairies présentes à Colomiers deviennent des châteaux de plaisance pour les familles des Capitouls. La plupart de ces grandes demeures prennent le nom de leurs propriétaires : Gramont, Garroussal ou encore Armurier.
1789 : la Révolution française à Colomiers
La Révolution française a d’importantes conséquences sur la ville de Colomiers. Elle détruit la coseigneurie, divise la paroisse et oppose les habitants pendant de nombreuses années. Le village est particulièrement marqué par l’insurrection royaliste de 1799, où des émeutes permettent aux opposants de prendre le contrôle de Colomiers avant l’attaque de Toulouse.
1830 : les bourgeois toulousains souhaitent rentabiliser leur château à Colomiers
Les bourgeois de Toulouse, propriétaires de châteaux à Colomiers, souhaitent rentabiliser leurs domaines au Conseil municipal. Pour cela, ils demandent la privatisation des communaux et la limitation de leurs impôts. Ce n’est pas au goût des paysans et des artisans républicains. Cela provoque des tensions, et notamment des bagarres politiques en 1848.
Second Empire : Colomiers se développe
À la fin du XIXe siècle, sous le Seconde Empire, Colomiers se développe grâce à l’arrivée du train en 1848, à l’installation d’entreprises spécialisées dans la fabrique de malles, de tuiles, et au développement de la scolarisation.
1900 : l’arrivée du tramway, Colomiers se connecte à Toulouse
En 1900, Colomiers parvient à dépasser le cap des 1.700 habitants et est marquée par l’arrivée du tramway et de son électrification. Ce transport en commun permet aux habitants de se rendre à Esquirol, à Toulouse.
1940 : Léon Blum et Vincent Auriol arrêtés à Colomiers
Le 15 septembre 1940, Léon Blum, traqué par la milice, et Vincent Auriol, parlementaire français refusant les pleins pouvoirs au maréchal Pétain, sont arrêtés au Château de l’Armurier. Les deux hommes politiques s’étaient réfugiés à Colomiers à l’invitation d’Eugène Montel, maire du village.
1958 : le projet d’une ville nouvelle
Eugène Montel et Alex Raymond lancent le projet urbain ambitieux d’une ville nouvelle en 1958. Ils souhaitent faire passer le village de 3.000 habitants à une ville de plus de 30.000. Les zones industrielles En Jacca, et celle liée à l’aéronautique Dassault et Aérospatiale, sortent de terre.
Dès le début des années 1960, Colomiers organise son développement. Mené par l’architecte Paul Viguier, il prévoit de réserver 30% du territoire columérin à l’activité économique.
1980 - 1990 : nouvelle phase d’urbanisation à Colomiers
Face à l’augmentation continuelle du nombre d’habitants au sein de la ville, entre 1980 et 1990, une nouvelle phase importante d’urbanisation a lieu. Colomiers s’équipe en nouveaux équipements : Lycée international Victor Hugo, ligne C de TER, zones pavillonnaires et commerciales. Ceci effaçant les derniers espaces agricoles et intégrant Colomiers à la zone urbaine de Toulouse.
2003 : la fin des ronds-points à priorité à droite
Avant 2003, tous les ronds-points de Colomiers avaient la priorité à droite, ceci limitant l’utilisation des feux tricolores fixes. Au sein de la ville, on ne compte que deux feux tricolores. Dès son arrivée à la mairie, Bernard Sicard harmonise les ronds-points de la ville et instaure la gratuité des transports en commun et des parkings.
2025 : Toulouse Aerospace Express, Colomiers connectée à Toulouse et Labège
Dès 2025, la ville Colomiers sera connectée au centre-ville de Toulouse, via la station de métro Jean-Jaurès, et au pôle d’affaire Labège-Innopole, grâce à la Toulouse Aerospace Express, la troisième ligne de métro. D’une longueur de près de 30 kilomètres, la TAE disposera d’un terminus au niveau de la gare de Colomiers.
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