Logements neuf à Brax
À propos de Brax
Située en périphérie de Toulouse en Haute-Garonne, la commune de Brax se place à 16 kilomètres de la Ville Rose et profite du rayonnement de celle-ci. Peuplée de 2 862 habitants en 2019 (Insee). Plutôt rurale, Brax a bénéficié d’une belle urbanisation ayant conduit de nombreux toulousains à y élire leur résidence. Si l’offre de logements est moins importante que dans l’immobilier neuf à Toulouse, quelques résidences se développent pour proposer des appartements modernes.
Partie prenante de l’ancien pays toulousain, Brax profite d’un cadre naturel exceptionnel (plaines fertiles, bosquets et collines). Elle est limitrophe aux communes de La Salvetat-Saint-Gilles, Pibrac et Léguevin.
Adaptée à la vie en famille, la commune a vu sa croissance démographique évoluer en l’espaces de quelques années, soit +7,27% entre 2014 et 2019. Des chiffres qui peuvent s’expliquer par le cadre de vie que Brax a à offrir : maisons avec jardins, petits commerces, écoles et crèches, transports...
Pourquoi investir dans l’immobilier neuf à Brax
Investir dans l’immobilier neuf à Brax que ce soit pour un investissement locatif en loi Pinel ou pour un achat en résidence principale, présente de belles opportunités. Les promoteurs locaux et nationaux investissent de plus en plus les petites communes de périphérie pour proposer des logements modernes aux prestations de qualité. De plus, l’immobilier neuf vient répondre à la demande de logements, toujours plus importante dans les aires urbaines des grandes métropoles comme Toulouse.
Pour investir dans un appartement neuf à Brax, un acheteur devra débourser 4 300 € du m², les prix ayant évolué de 3% sur les 6 derniers mois. Sur le marché, les propriétaires restent majoritaires et représentent 72,9% des habitants de Brax, les locataires quant à eux représentent 27,1% des locataires.
Environnement
La commune de Brax s’étend sur 4,42 km² et s’organise de son centre-bourg, où l’architecture dominante est typiquement toulousaine. Au centre du village, on y trouve l’église, une supérette, une pharmacie ainsi que des bars-restaurants, notamment le “Braxéen”, ou encore “La Cantina”, idéalement placée face à la place du Château. Brax revêt une architecture typique de la région, participant à son charme. La place du château est également desservie par la ligne de bus 32 du réseau Tisséo.
Si l’on s’éloigne un peu du centre, on trouve principalement des quartiers pavillonnaires, où les maisons avec jardins sont entretenues. Du côté de la rue Mezaillade, un lotissement a a été créé et comporte un ensemble de bâtiments neufs. Harmonieusement insérés à leur environnement, les bâtiments reprennent les couleurs de Toulouse et proposent des garages privés. Des petites allées ont été créées à l’extérieur pour faciliter les rencontres et échanges entre voisins.
Transports
- Ligne de bus 32 du réseau Tisséo (arrêts Mairie de Brax, Brax-Léguevin gare SNCF) ;
- TER ligne Brax-Lèguevin
Investir dans l’immobilier neuf à Brax
De plus en plus d’investisseurs n’hésitent plus à se rapprocher des petites communes périphériques de Toulouse. Agréables, bien desservies, celles-ci ont fait l’objet de réhabilitation ces dernières années, notamment en vue d’améliorer leur parc immobilier.
Si les programmes immobiliers neufs à Brax ne sont pas encore très nombreux, la commune devrait toutefois poursuivre son ascension urbaine, permettant ainsi aux particuliers d’investir dans l’immobilier locatif ou d’acheter leur résidence principale. Les prix de l’immobilier à Brax sont très attractifs et beaucoup moins élevés qu’en centre-ville de Toulouse.
Le parc de logements s’est développé en quelques années et atteignait 1 186 logements en 2018. 93,5% des biens de Brax sont occupés au titre de résidence principale. La majorité des biens sont des maisons (86,9%) contre 12,8% d’appartements.
Quelques lieux remarquables
Le Château de Brax
Le château de Brax a été construit par Françoise de Seysses, seigneuresse de Brax et son époux Jean de Polastron en 1582. Typique du style transitoire entre château fort et château de plaisance, l’édifice comporte 4 tours d’angles circulaires et couronnées de créneaux. En façade principale, un parc de 700 mètres d’est en ouest donne accès à un perron à double rampe. Le parc jouit d’une végétation variée dont une zone boisée de 10 hectares et d’une zone arborée autour du château. Il comprend également un cèdre de l’Himalaya, très rare en zone périurbaine. Après avoir été successivement ravagé par un incendie en 1930 puis restauré, il servira par la suite de refuge pour les services spéciaux de la Défense nationale. Il accueillera en 1942, un groupe de résistants du réseau Morhange. Racheté en 1943 pour réaliser une spéculation foncière, il deviendra la résidence secondaire d’Antonin Cousin de Sidi-Bel-Abbès. Il sera ensuite inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques le 26 novembre 1946. Dans les années 1950, il devient la propriété de l’architecte Jean-Louis Gilet. Plus tard, dès 1967, il sera acquis par l’Association de sauvegarde des enfants invalides. C’est récemment que la mairie de Brax l’a finalement racheté.
La stèle François Verdier
Le mémorial se place dans la forêt de Bouconne, située non loin de Brax, lieu d’exécution du résistant François Verdier, chef régional des Mouvements Unis de la Résistance en Midi-Pyrénées, nommée par le général de Gaulle en 1943.
Etablissements scolaires
- École maternelle et primaire de Brax
- Groupe scolaire François Verdier
Les points forts
- Cadre de vie agréable ;
- Prix de l’immobilier attractif ;
- Proximité de la forêt de Bouconne ;
- Desservie par le bus et le train TER ;
- Proche de Toulouse ;
- Patrimoine historique et architectural de charme ;
- Offre commerciale ;
- Services publics et écoles...
Un peu d’histoire...
Une église en pierre et en brique est construite au centre du village. Elle est consacrée le 4 août 1511 par l'évêque de Pamiers. C’est Françoise de Seysse, une dame de Brax, qui achète ce lieu fortifié dépendant du Comté de L'Isle Jourdain à Marie Ducos, seigneuresse de Brax. Si la fondation du village remonte au moins au XIIe siècle, il est probable que le lieu ait été habité bien avant, et ce malgré sa typologie boisée et marécageuse, puisqu’il se situait à proximité de l'ancienne voie romaine qui reliait Toulouse à Auch. Ce n’est toutefois que du XVIe que date sa fondation politique autonome.
Le curé Auguste Roger de Saint Félix est nommé à Brax en 1844. Il consacre sa vie et sa fortune à l’édification de la nouvelle église et à celle du prieuré. Avant sa mort, il lègue 800 F de rente or perpétuelle pour son entretien, et pour le maintien de l'enseignement gratuit dans le village. Marie de Saint Félix, sa mère, fait de nombreux dons à Brax, qui financent la construction du prieuré, destinée à loger des sœurs, et d’une école pour filles (la bâtisse qui accueille la mairie aujourd’hui).
Le 9 juin 1861, sur proposition du curé de St Félix, le conseil municipal reconnaît que l'église est devenue trop petite pour contenir la population, et qu’elle a atteint un état de délabrement qui justifie une rénovation complète. Après délibération, le conseil municipal approuve l'agrandissement de l'église et son élévation. La nouvelle église est inaugurée en 1865 par M. de Saint-Félix.
Cette fin de XIXe est marquée par l’entrée de Brax dans l’agglomération toulousaine, avec la mise en service de la gare de Brax-Léguevin par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne. Les habitants de Brax ont grandement aidé Marcel Taillandier, le cerveau du groupe de résistance du réseau Morhange durant les sombres années de la Seconde Guerre mondiale. Le siège du réseau Morhange était le château de Brax.
Partiellement sur le territoire de Brax, la forêt de Bouconne fut un haut lieu de la Résistance intérieure française. Le château est racheté par l'Association des Enfants invalides, qui l’aménage en « Centre de Rééducation de l'Ouïe et de la Parole ». On y éduque environ 90 sourds-muets ou malentendants. Le village connaît une première phase d’urbanisation après-guerre. En 1974, il compte 1.000 habitants, pour 199 en 1918.
Brax se dote de toutes les infrastructures les plus modernes : crèche, école maternelle, école élémentaire, bibliothèque municipale, foyer rural… Le village accueille aussi différents clubs sportifs : basket-ball, football, tennis, pétanque, judo ainsi que Foulée Braxéenne. À la fin du siècle, Brax compte 2.086 habitants. La commune est entrée dans la typologie urbaine qu’on lui connaît depuis lors.
La SNCF met en place un service cadencé avec une rame toutes les 1/2 heures aux heures de pointe, qui permet de rejoindre Toulouse en une trentaine de minutes. La forêt est classée « forêt de protection » sur une superficie d'environ 2.830 hectares. Seul grand massif boisé proche du Grand Toulouse, la forêt de Bouconne abrite encore des sangliers et chevreuils, ce qui est surprenant au vu de sa forte fréquentation. Sur le périmètre de la forêt, on trouve aussi : une base de loisirs avec une piscine, des courts de tennis, un minigolf, une aire de pique-nique, des sentiers balisés pour la randonnée pédestre ou le VTT, dont le Chemin de Compostelle GR 653.
Brax compte 2786 habitants en 2016. Le village accueille depuis de nombreuses années déjà les familles toulousaines lassées de la ville et de sa cadence, en quête de calme et d’espace. Brax poursuit un développement urbain raisonné mais certain, qui lui conserve une identité traditionnellement rurale et agricole, mais l’inscrit dans une dynamique résolument moderne et vivante.