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POURQUOI INVESTIR
à Cornebarrieu
Cornebarrieu est située au nord-ouest de l’agglomération toulousaine. D’une superficie de 18.7 km², la ville compte plus de 6.500 habitants, selon le recensement de l’INSEE datant de 2016.
An 600 : construction du pont Saint-Clément
Cornebarrieu est équipé d’un pont de style “romain”, qui permet de relier les deux rives de l’Aussonnelle. En 1835, la mairie de la ville annonce que la construction de ce pont date “de l’an 600. Il aurait 1235 ans d’existence.”
1128 : Cornebarrieu léguée aux Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem
C’est dans des écrits datant du 1128 que le nom du village de Cornebarrieu apparaît pour la première fois. Le parchemin relate que Pierre de Pibrac cède un arpent de vigne, situé tout près de l’emplacement de l’actuelle église Saint-Clément, aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
Cornebarrieu au Moyen-Âge
Le village se développe le long de la rive gauche de l’Aussonnelle. Au Moyen-Âge, Cornebarrieu est équipé de nombreux fours permettant le développement d’une activité de potiers. La production de céramiques culinaires avec des plats, oules et pegaus (sorte de pichet) y est importante.
XIVe siècle : Cornebarrieu appartient à la famille de Voisins
Plusieurs seigneurs ont occupé les terres de Cornebarrieu, comme Géraud Baline du Quercy, les Dames de Loubaissin et finalement la famille de Voisins.
En 1567, Pierre de Voisins créée un hôpital pour venir en aide aux pauvres.
XVIe siècle : des domaines se construisent à Cornebarrieu
De riches familles construisent de beaux domaines sur les terres de Cornebarrieu. Les marchands de Laran, drapier de Louis XIV, qui possède près de 200 arpents de terre, la famille Pontié ou encore Alliez. Un des châteaux appartient aux seigneurs de Loubaissin et un autre aux de Thomas. Ces deux familles sont connues à Toulouse pour avoir donné plusieurs capitouls.
1735 : Cornebarrieu s’étend jusqu’à la forêt de Bouconne
Le village gagne en territoire jusqu’à la forêt de Bouconne, un grand terrain de chasse. Les habitations se rapprochent de cette grande forêt pour y exploiter les terres et cultiver la vigne ainsi que des céréales.
1785 : la Route départementale 1 est tracée
Entre la pointe de Taffi et Mondonville, la Route départementale 1 est tracée. Elle est composée de trois portions rectilignes et d’un pont. Cet axe routier était une alternative à la route de Lévignac qui empruntait des chemins peu praticables et des zones marécageuses à travers la forêt de Bouconne.
1795 : démolition de l’église Saint-Clément
En 1795, l’église Saint-Clément menace de tomber en ruines. Elle est en partie démolie et ses matériaux sont vendus aux enchères. Au XIXe siècle, d’importants travaux de restauration sont effectués afin de conserver le clocher, symbole de l’architecture toulousaine.
XIXe siècle : l’important développement urbain de Cornebarrieu
Cornebarrieu connaît une importante phase de développement urbain. En effet, le village s’équipe d’une école, construite en deux phases (1865 et 1898), et d’une mairie en 1899. Les voies de déplacement sont améliorées et la route de Pibrac est ouverte. En 1812, le pont Saint Jean est construit. Il permet aux charrettes de fagots venant de Bouconne d’éviter les zones marécageuses de la ville et de rejoindre Toulouse plus facilement.
1900 : Cornebarrieu traversée par le train
Des chemins de fer sont installés au sein de Cornebarrieu. Jusqu’en 1914, le village devient une zone de passage de trains reliant Grenade et Cadours au quartier Saint-Cyprien à Toulouse. Les locomotives vont continuer à se succéder jusqu’en 1948, date de l’arrivée de l’autobus dans le village.
Cornebarrieu après la Seconde Guerre mondiale
Jusqu’en 1945, le village connaît un développement lent. Mais dès le début des années 60, les premières constructions de villas se font et des lotissements commencent à se créer.
1957 : Sud-Aviation permet de développer Cornebarrieu
Sud-Aviation (aujourd’hui devenu Airbus) s’implante à proximité de Cornebarrieu en 1957. La société prend place au sein d’un espace de 70 hectares et permet la construction d’avions et d’hélicoptères.
1966 : la clinique des Cèdres est construite
La clinique des Cèdres a vu le jour en 1966. Elle est reprise près de 40 ans après par le groupe CAPIO, en 2003. Grâce à sa grande capacité d’accueil de patients, l’établissement de santé figure parmi les meilleures cliniques d’Europe.
2006 : Cornebarrieu dépasse le cap des 5.000 habitants
Depuis 1954, la population de Cornebarrieu a continuellement augmenté. Le village passe au stade de ville en 1975, en dépassant les 2.000 habitants. En 2006, le développement urbain de la commune se poursuit et selon le recensement de l’Insee, l’on dénombre alors 5.450 habitants.
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