Saint-Jean est une ville de taille moyenne de 11 000 habitants à 20 minutes de Toulouse et située au nord-est de la métropole. C’est une commune qui a beaucoup à offrir autant sur la qualité de vie qu’elle propose que sur la richesse des équipements et services qui y sont dispensés. Soucieuse du bien-être de ses habitants, la municipalité Saint-Jeannaise traduit les besoins en actions concrètes pour répondre aux attentes de la population et attirer de nouveaux ménages. Alors que l’ immobilier neuf à Toulouse bat son plein, le reste de la métropole en profite également.

Face à une démographie en croissance perpétuelle, l’offre immobilière Saint-Jeannaise doit pouvoir répondre à la demande. Entre 2014 et 2019, la commune a connu un boom démographique de + 6,08 %, convainquant les professionnels de la promotion immobilière à enrichir l’offre de programmes neufs à Saint-Jean. Il faut dire que la ville présente toutes les caractéristiques de la ville idéale pour vivre en couple ou en famille. Tout en étant une ville à dimension humaine, Saint-Jean propose à la fois des zones résidentielles de qualité, des infrastructures scolaires, des équipements sportifs et culturels évolutifs ainsi qu’un large panel de commerces de proximité.

L’emplacement privilégié de Saint-Jean aux portes de Toulouse est la cerise sur le gâteau. La ville dispose d’un accès direct à l’autoroute du Pastel ou bien à la Route d’Albi. Pour les adeptes des transports en commun, la gare de Montrabé ne se trouve qu’à 8 minutes en voiture et des bus du réseau Tisséo desservent toute la ville. Saint-Jean est donc une ville facilement accessible et attrayante pour la diversification des activités économiques.

Pourquoi investir dans l’immobilier neuf à Saint-Jean ?

Comme certaines communes de l’aire urbaine de Toulouse, Saint-Jean est éligible au dispositif Pinel. le dispositif permet de profiter d’une réduction d’impôts allant jusqu’à 63 000 € en échange de la mise en location de son bien pour une durée de 6, 9 ou 12 ans. La loi Pinel à Toulouse reste très utilisée pour réguler la tension immobilière qui est exercée sur le marché locatif mais c’est sans négliger les communes périphériques qui gagnent en popularité. C’est un constat, les communes de la périphérie ont gagné en attractivité et profite du rayonnement.

À Saint-Jean, la répartition des ménages est assez homogène. On y trouve à la fois des familles, des couples sans enfant, des ménages monoparentaux et des séniors. Lorsqu’on envisage un investissement locatif, il faut savoir à qui on s’adresse pour pouvoir louer son logement à sa cible de prédilection. Le propriétaire et futur locataire sont aussi soumis aux plafonds de loyer et de ressources. C’est-à-dire que l’acquéreur ne peut pas librement fixer le montant de son loyer et que tous les locataires ne peuvent pas occuper un logement Pinel. Il est obligatoire de respecter les plafonds en vigueur régis selon la zone où se trouve le bien, à savoir la zone B1 pour la ville de Saint-Jean.

Nombreux sont les avantages à habiter ou à investir à Saint-Jean. Peu importe le profil des habitants, les infrastructures et équipements s’adaptent à tous. Des établissements scolaires aux activités de loisirs, en passant par des cliniques médicales, tout est sur place. Pour faire vivre la ville, Saint-Jean peut compter sur son large vivier associatif qui permet de favoriser le lien social et intergénérationnel.

Environnement

Les programmes immobiliers neufs à Saint-Jean se répandent sur le territoire depuis une dizaine d’années. La Route d’Albi étant l’axe majeur de la commune, elle se voit investie par des résidences neuves, aux façades blanches et pavées de briques rouges pour s’intégrer dans le paysage architectural toulousain. D’autres programmes s’implantent sur des adresses un peu plus intimistes, à l’abri des regards. De manière générale, toutes les constructions récentes sont entourées d’espaces verts et de coins paysagés. Ville détenant un riche patrimoine historique, Saint-Jean est ceinturée par les communes de Castelmaurou , Rouffiac-Tolosan , Montrabé , L’Union et Saint-Geniès-Bellevue.

Saint-Jean est découpée en plusieurs quartiers résidentiels. Certains plus récents que d’autres et abritent à la fois de belles et grandes maisons avec jardin, des résidences mixtes et des constructions de maisons individuelles flambant neuves. La ville s’est dynamisée grâce à la restructuration du centre-ville qui a permis de fluidifier la circulation devant l’Hôtel de ville et de réaménager l’Avenue de l’Église. Ce projet urbain qui s’avérait nécessaire a rendu possible le développement de la zone d’activité de la Tuilerie, aux abords du lac du même nom, au nord de Saint-Jean.

Transports

• Ligne de bus 43 du réseau Tisséo : Argoulets / Saint-Jean Clinique de l’Union
• Ligne de bus 73 du réseau Tisséo : Borderouge / Saint-Jean Lestang
• Ligne de bus 68 du réseau Tisséo : Balma-Gramont / Castelmaurou Mairie
• Gare SNCF de Montrabé à 3,5 km
• Ligne 355 du réseau liO Arc-en-Ciel : gare routière de Toulouse

Investir dans l’immobilier neuf à Saint-Jean

Grâce à sa position géographique stratégique et au cadre de vie complet que Saint-Jean propose, la commune n’est pas prête de voir baisser son nombre d’habitants. De ce fait, le parc immobilier doit s’adapter en conséquence. Actuellement, Saint-Jean compte plus de maisons (63,6 %) que d’appartements (36,4 %). Une tendance qui pourrait être amenée à s’équilibrer dans les prochaines années avec la généralisation de la construction d’ensembles collectifs. De manière générale, les logements sont à 62,5 % occupés par des propriétaires et 37,5 % par des locataires, ce qui laisse entrevoir un beau potentiel pour l’investissement locatif.

Historiquement, l’est toulousain a toujours été plus recherché et donc plus cher. Encore aujourd’hui, les prix restent relativement élevés en comparaison à ceux affichés au nord ou à l’ouest de l’agglomération. À Saint-Jean, pour acquérir un appartement neuf, il faudra en moyenne débourser 2 966 € le m² et 3 181 € le m² pour une maison neuve. Même si à l’achat les tarifs sont plus hauts, il est toutefois possible de profiter de l’un des avantages considérables de l’immobilier neuf : les frais de notaire réduits. Ils sont de l’ordre de 2,5 % contre 7 à 8 % dans l’ancien.

Quelques quartiers

Le centre-ville

Le centre-ville de Saint-Jean prend place au croisement de la Route d’Albi et du Chemin de Belbèze. C’est dans ce quartier que l’on trouve notamment la mairie, la médiathèque-ludothèque, la M.J.C ou l’espace culturel Palumbo. Sur le plan éducatif, il y a l’école maternelle Joséphine Baker (anciennement Preissac), l’école primaire Marie-Louise Dissard et le collège Romain Rolland. Outre la présence de ces structures publiques, le centre-ville est bien pourvu en commerces de proximité : pharmacies, boulangeries et commerces alimentaires. La place François Mitterrand, à côté du centre commercial Belbèze accueille tous les samedis un marché de plein vent de plus de 30 commerçants.

Le sud de Saint-Jean

Limitrophe aux communes de l’Union et Montrabé, le sud de Saint-Jean est un secteur très attractif et générateur d’emplois grâce à la présence de la clinique de l’Union et des multiples professionnels de santé qui exercent leur activité. De part et d’autre de l’autoroute du Pastel, on y trouve surtout des entreprises qui relèvent du domaine industriel et des PME du secteur tertiaire. En ce qui concerne les habitations dans le quartier, ce sont surtout de belles maisons individuelles à étages et avec jardin.

Établissement scolaires

Établissements scolaires sur la commune :

• Multi-accueil “Au Pays des Fées”
• Multi-accueil “La Pitchounelle”
• Groupe scolaire Joséphine Baker
• Groupe scolaire Marcel Langer
• Groupe scolaire Marie-Louise Dissard
• Collège Romain Rolland

Établissement scolaire de secteur :

• Lycée Raymond Naves à Toulouse (quartier Jolimont)

Les points forts

• Ville résidentielle
• Offre scolaire complète
• Présence de nombreux commerces
• Axes routiers à proximité
• Possibilité d’investissement locatif en loi Pinel
• Large vivier d’associations culturelles et sportives
• Une commune propice à l’émergence de programmes neufs

Un peu d’histoire

En 1138, Arnold Adalbert cède son fief de l’Estaquebiau (actuel emplacement de la commune de Saint-Jean) aux Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Ces derniers deviennent au XVIe siècle l’Ordre de Malte, et ils décident de construire une église sur le sol Saint-Jeannais. Sous l’Ancien Régime, un grand territoire est occupé par deux communautés d’habitants, contraintes de partager une même paroisse. L’église, du fait de sa situation géographique excentrée, devient un sujet de dispute entre les membres de ces deux communautés, qui revendiquent chacune leur identité propre. Pourtant, le Directoire Départemental Révolutionnaire persiste par la suite à unifier ces deux communes, et change l’appellation du village en Saint-Jean de l’Union. En 1868, l’année de la création de Saint-Jean, la ville est constituée de trois quartiers et elle recense environ 258 habitants. L’activité économique de Saint-Jean est principalement centrée sur le domaine de l’agriculture.

Même si le village ne compte qu’un peu plus de 300 habitants durant les années 1900, la municipalité de Saint-Jean entreprend à cette époque de nombreux projets de réhabilitation urbaine. L’église Saint Jean-Baptiste nécessite d’importants travaux de rénovation, et les lois initiées par Jules Ferry rendent la scolarité obligatoire. L’aménagement de certains locaux devient donc une nécessité.

Au lendemain de la Première Guerre mondiale, la ville effectue des premiers travaux d’électrification et poursuit sa modernisation. En 1960, ce sont 650 Saint-Jeannais qui vivent au sein de la commune. 8 ans plus tard, la population a pratiquement triplé, puisque selon le recensement de 1968 on compte 1.887 habitants. La création des premiers logements sociaux représente la principale cause de cette explosion démographique. Les habitants de la commune éprouvent un certain intérêt pour ces nouvelles constructions, qui correspondent aux besoins d’une population plus jeune.